Avant, j’écorchais les coeurs imprudents et chantonnais quelques sortilèges par résolution innocente à les voir exaucés, presque par poésie, par espoir d’un sentiment, quelqu’il soit. Mais rien n’y faisait, je ne sentais pas l’âme d’un bel amour. Je restais là auprès de ceux qui n’avaient rien eu de mieux à faire, en sorte de lèche-vitrine amoureux, c’était la fuite de la justesse, au profit de l’ennui de la constance.
Aujourd'hui, je suis.
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